18/11/2019

De l’intérêt de choisir une marque

Si de plus en plus de chefs s’engagent auprès d’une marque, c’est parce qu’elle est capable de répondre à toutes les tendances. Par exemple, celle de l’origine. Les assiettes garnies de légumes et d’œufs made in France ont en effet indéniablement la côte. Mais bien d’autres raisons justifient un partenariat avec une marque. Rencontre avec l’un de ces chefs engagés.

L’assurance de la proximité

Les convives plébiscitent de plus en plus les produits estampillés France. Quand ils s’installent dans leur restaurant, ils scrutent le menu reflétant cet engagement. « Toutes les marques ne peuvent pas assurer une telle origine », souligne Christophe Laraine, chef de cuisine au lycée René Descartes à Cournon-d’Auvergne (63). « La démarche 100% cultivé en France créée par d’aucy est un gage incomparable de qualité. » Autre critère de différenciation par rapport à la concurrence, le fonctionnement en coopérative : les agriculteurs et les éleveurs sont en effet l’identité même du groupe. On retrouve des hommes et des femmes sont tous fiers de coopérer et d’offrir chaque jour aux chefs des produits au top et cela en toute transparence.

La rigueur des cahiers des charges

Pour instaurer une relation durable avec une marque, un responsable de restauration a également besoin d’être rassuré, quant à la qualité nutritionnelle des produits travaillés. Certains légumes, comme les haricots verts par exemple, sont conditionnés moins de 4h après être sortis de terre, donc pas d’inquiétude à avoir quant à la conservation des vitamines et autres minéraux. Pour sécuriser les chefs en ce qui concerne la traçabilité, elle est complète grâce à une vignette collée sur tous les emballages. Sur un sujet qui interpelle les consommateurs, les conditions d’élevage, il est important de rappeler que Cocotine a fait le choix d’arrêter la production d’œufs issus de poules en cage. C’est également la seule marque à proposer des œufs extra-frais de poules élevées bien entendu dans l’hexagone.

L’intransigeance sur le goût

Parmi les points qui ne souffrent aucune discussion : le goût. « Le visuel est important » reconnaît Christophe Laraine, « car il s’agit du premier contact avec le produit. Un légume en conserve comme en surgelé doit donc présenter une belle tenue et une belle couleur. » Etape suivante le coup de fourchette. « Je sais de quoi je parle, puisque j’ai des lycéens en face de moi. Un public qu’il n’est pas toujours facile de satisfaire, car le légume n’est pas forcément son meilleur ami. Avec une marque le goût y est, mais cela ne suffit pas. Il faut aussi des gammes variées, pour enrichir la liste des menus. » Avec en moyenne 10 nouveaux produits par an, dont des références bio en conserve et surgelé, de légumes et produits élaborés d’œufs, les occasions sont donc nombreuses pour Christophe Laraine et son équipe, de proposer de nouvelles recettes savoureuses. Afin de mettre en avant les terroirs hexagonaux, ils ont ainsi récemment mis au menu La poêlée Franc-comtoise d’aucy. Entre les pommes de terre, le Comté, les saucisses fumées et les lardons fumés, les papilles des jeunes convives ont été exaltées. Et c’est comme ça toute l’année.cta-légumes-d'aucy-france