11/01/2019

HACCP, comment réussir la transition vers le digital ?

Pour répondre à leurs obligations en termes de sécurité alimentaire les chefs appliquent depuis plusieurs années les normes HACCP en restauration collective. Ils peuvent désormais confier à l’informatique l’ensemble de ces tâches. Un gain de temps évident, des kilos de papiers sauvegardés et des erreurs évitées. Si l’offre de logiciels et autres progiciels, développée par les entreprises n’est pas encore pléthorique, elle est suffisamment fournie pour laisser les chefs perplexes, alors que chacun peut y trouver la formule qui lui convient.

Des services pointus et évolutifs

Dans un contexte complexe et fluctuant qu’est celui de la sécurité alimentaire, l’informatique offre des réponses à toutes les obligations. Avec une simple pression de doigt un utilisateur peut contrôler la réception des marchandises
 (archivage des procédures de contrôles, enregistrement des données relevées lors de ces contrôles…), les enregistrements de température des enceintes frigorifiques, les durées de refroidissement et de remise en température des aliments, le suivi du plan de nettoyage… Des solutions qui prévoient une réception directe des rapports
 dont ceux d’analyses microbiologiques ou bien encore un envoi par e-mail au(x) destinataire(s) de son choix en un clic. Pour répondre aux problématiques de chaque cuisine, le paramétrage est personnalisable.

Ces détails qui pourraient faire la différence

Dans un marché très concurrentiel, les concepteurs n’ont d’autre choix que de se démarquer. S’ils misent tous sur la simplicité, en développant le côté intuitif des dispositifs (Eezytrace, TraQ’food), certains vont plus loin en proposant des formations par vidéo (Epack Hygiene) et-ou sur site. Celles-ci sont éligibles au budget formation professionnelle. Le design est à prendre en compte mais plus encore la robustesse. Les matériels doivent supporter d’importantes variations de températures et résister aux chocs. Une tablette par exemple résiste à des chutes de plus de 1,20 mètres. Elle est de plus totalement étanche à la poussière et à l’eau. Important travail des fabricants également sur les batteries. Un matériel est en mesure d’afficher 10h d’autonomie. Les données récoltées peuvent désormais être stockées sur le cloud. Grâce à ces génies de l’informatique les chefs disposent de plus de temps pour cuisiner. Enfin, pour aller plus loin, certaines applications proposent même d’effectuer un audit interne (Kooklin, Keyfood).

5 questions à vous poser

  • Est-il possible de tester avant de se décider ? C’est la formule parfaite, car rien ne remplace la pratique au quotidien par les divers utilisateurs.
  • Quels sont les services inclus ? Ils ne sont pas identiques selon la marque. Il peut être question d’aide au paramétrage initial de la solution et à l’installation de nouvelles versions de logiciels, d’assistance téléphonique, de mises à jour automatiques du logiciel, d’aide au diagnostic en cas de dysfonctionnement…
  • Quelle est la durée de l’engagement ? Elle peut être de 12, 24 voire 36 mois.
  • Quelle est la garantie constructeur ? Le plus souvent 2 ans, parfois 1 an supplémentaire.
  • Que prévoit la maintenance ? Remplacement du matériel paramétré et mis à jour sous 24h, 48h… Maintenance opérationnelle 5/7 jours dans l’heure si le dysfonctionnement interdit toute manipulation…


Du champ à l’assiette, d’aucy foodservice c’est la garantie de travailler avec une coopérative.

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